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Alors que je 
Le gameplay est loin d'avoir la finesse des NOLF et l'ambiance n'y est pas vous préparais secrètement le test de F.E.A.R, j'ai eu sous la main Contract J.A.C.K., basé sur l'univers de No One Lives Forever (NOLF) et dont le scénario se place entre le premier et le second épisode. Mais ici il n'est pas question de jouer avec la douce Cate Archer mais plutôt avec le gros lourdaud de John Jack, un tueur à gages embauché par Volkov qui aura pour mission de nettoyer la belle anglaise. Sorti 13 mois après l’excellent NOLF 2, ce spin-off en reprend (presque) toutes les caractéristiques dont le moteur graphique. Difficile d'être objectif à l'heure du test car lorsqu'on a vu tourner Call of Duty 4 ou Crysis, nos aspirations en termes de graphismes ont tendance à être revu à la hausse. Malgré tout le jeu reste beau, le moteur de Monolith ayant encore quelques jolis restes. Bien sûr nos machines de guerre n'auront aucun mal à le faire tourner car si on jette un oeil à la configuration minimale, on est un peu mort de rire. Question univers, hormis des décors ayant la même griffe visuelle, on retrouvera des dialogues burlesques et d'horribles musiques, tout ça dans le ton des opus originaux. Je dis horribles (musiques) juste parce que ne n'apprécie pas le ton des compositions mais c'est bien sûr subjectif et le commun des mortels appréciera sans doute et ce, sans mon approbation. Contract J.A.C.K. (J.A.C.K. pour Just Another Contract Killer) sème pourtant tout le charme de NOLF 2. Plus de gadget, plus d'infiltration et une forte inspiration de Serious Sam rebuteront les fans de la (trop petite) série de Monolith. Jack est un gros bourrin qui détruit tout sur son passage à grand coup de gun et en repeignant les murs d'un rouge écarlate. Loin de la finesse de sa cible principale, le jeu perd ainsi ses origines. Dans les chapitres qui fâchent nous avons aussi des corps qui s'effacent presque dés la mort arrivée, des ennemis très redondants, une visée assistée qui vous aide à être encore plus sauvage et au final, un jeu sans grand intérêt.
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Avec Contract J.A.C.KNote il est vrai qu'on retrouve le même type de narration, le même type de dialogues poussant au rictus, quelques reprises des musiques de No One Lives Forever 2, des graphismes sympas mais il est tout d’abord très court (6h à peine) et esquive tout ce qui faisait l'identité de l'opus original comme crocheter les cadenas plutôt que de les défoncer à coup de gun. Dommage, voir cet univers si particulier sous autre angle aurait pu être sympa...
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